Ravages de la théorie du genre, un enfant de trois ans dénudé et forcé de toucher les parties génitales d'une petite camarade.
Témoignage de Dalila Hassan, mère de trois enfants et responsable des Journées de retrait de l’école (JRE) de Joué-lès-Tours, sur le cas d’un enfant de trois ans traumatisé par une expérience de sexualisation à l’école maternelle.
Bonjour,
Je partage l’avis d’Andrea. J’ai un gros doute. Quoi qu’il en soit, la seule bonne méthode dans ce cas est de porter plainte auprès des autorités.
Ici, c’est parole contre parole avec en plus une opportunité pour la femme qui s’exprime de se faire un peu de pub pour son mouvement et pour elle-même.
D’autre part, si cette brave dame ne voit absolument pas quel intérêt aurait cette femme tchétchène à mentir, il faudrait qu’elle réfléchisse un instant. Il y en aurait des motifs ! Ne serait-ce que l’obtention d’un dédommagements voire d’une rente de l’Etat …
Pas clair.
Je ne comprends pas pourquoi cette dame se borne à relater des entretiens en répétant que la mère de l’enfant est cécène, que la directrice soutient la matresse et s’obstine à « s’interroger ».
Ce n’est pas à elle de s’interroger.
Il y a matière à déposer une plainte pénale à l’encontre de la maîtresse et de la direction de l’école.
La justice menera l’instruction.
La pédophilie et la contrainte sexuelles restent condamnables, non?
« l’union fait la force… Il faut lutter… » Oui, mais en utilisant les dispositifs en place.
On ne combat plus les guerres aujourd’hui avec des lances pierresnon?
Je crois qu’il y a un déficit énorme en matière d’éducation civique.
C’est ce qui finit inévitablement par arriver lorsque des pédophiles gravitent autours et au gouvernement…..Ils peuvent donc continuer à se citer dans leurs livres en plein ébats avec « de jeunes éphèbes », ils sont au-dessus des lois, ces braves messieurs.