Beaucoup de choses se disent sur le loup. Beaucoup d’affirmations de la part de penseurs confortablement assis dans un salon ou derrière un écran d’ordinateur. Beaucoup de mensonges et de manipulations. Et cela dure depuis 20 ans.
1 - NON- Le loup n’est pas une espèce rare et menacée
2 - OUI - Ce sont les loups qui tuent les moutons, pas les « chiens errants » !
3 - OUI - Les dégâts des loups sur l’élevage sont très importants !
4 – OUI - Les éleveurs protègent leurs troupeaux, mais le loup s’adapte !
5- OUI - Les chiens de protection deviennent un vrai problème !
6 - NON - Cela ne se passe pas bien avec les loups dans les autres pays européens !
7 - OUI - L’élevage de montagne résiste bien, si on ne lui impose pas le loup !
8 - OUI - L’élevage en plein air est nécessaire pour les paysages et la biodiversité !
9 - OUI - Le loup coûte cher… au détriment des priorités de la biodiversité !
10 - OUI - Le loup pourrait s’en prendre à nouveau à l’homme !
Tout à fait d’accord sur le fait que le loup est un prédateur intelligent pour qui l’humain peut être son gibier dans des circonstances qui lui seraient favorables.Nombre d’attaques hors de nos frontières,nos politiques et bobo- écolo devraient en prendre conscience.300 individus en france (déjà) en sachant que leur population croit de 20 pour cent par an.Si le résultat final se résume dans 10 ans par l’abattage du loup…(comme au siècle dernier) quel gachis.Et il ne faut pas croire que le loup va rester soigneusement en montagne.il colonisera les forets pus en plaine inévitablement.
Bravo à Anne Lauwert pour son excellente missive ci-dessus. Elle résume bien la réalité du terrain, celle-là même que les pro-prédateurs et « spécialistes » tentent de dissimuler au grand public. Il ya néanmoins une onzième vérité à rétablir qui n’est pas citée dans les 10 points ci-dessus. Il s’agit de la fable qui consiste à faire croire que le loup est indispensable pour l’équilibre de la faune. En effet, pendant son absence de plus d’un siècle en Europe Centrale AUCUNE espèce animale ou végétale n’en a soufferte et inversement, depuis son retour ces 20 dernières années AUCUNE espèce animale ou végétale n’en a bénéficiée d’une quelconque manière et pour une raison simple : sa prédation à été remplacé avec succès par les chasseurs, qui eux, ne coutent rien à la collectivité et rapportent même pas mal d’argent dans les caisses de l’administration. D’autre part, la biodiversité ne ce limite pas aux seuls prédateurs et tous les jours, des dizaines (!) d’espèces animales ou végétales disparaissent de la surface du globe, parfois de la faute de l’homme, parfois pas et au lieu de dépenser tant d’argent et de moyens pour ces bestioles à problème dont la faune et la flore européenne se passent parfaitement bien, il serait plus judicieux d’utiliser toutes ces ressources et ses moyens pour essayer de sauver des espèces comme le Grand-Tetras, la Gélinotte ou l’abeille, qui disparaissent dans l’indifférence générale et qui sont au moins aussi utile à l’environnement que lynx, loups ou ours. Tant qu’ils auront du gibier et du bétail à profusion à leur disposition, les loups auront peu de raisons de s’attaquer aux humains, mais vu que cette manne risque vite de s’épuiser et vu l’absence de peur de l’humain des prédateurs qui ne sont plus chassés, ceux qui tentent de les imposer à tout prix aujourd’hui se rendent coupables des morts et des blessés de demain.
Nos grands-parents connaissaient la nature beaucoup mieux que nous.
Si les grands prédateurs comme le loup ou l’ours n’avaient pas posé de problèmes, ils ne les auraient pas exterminés.
Réintroduire des grands prédateurs est scandaleux car les animaux domestiques ne sont pas de taille à se défendre, ils n’ont même pas la morphologie pour fuir comme les chamois, chevreuils ou cerfs. Les moutons sont massacrés dans des souffrances inacceptables, tout à fait contraires aux lois sur la protection des animaux… Si une personne devait tuer un mouton comme le font les loups, elle risquerait de finir sa vie en prison ! En fin de compte on doit quand même abattre les prédateurs en question – que de souffrances inutiles ! Ce n’est pas une question d’être remboursés financièrement, c’est que quand on élève des bêtes on les aime et leurs souffrances sont insupportables !
Qui y gagne? les éleveurs de loups et d’ours?
Pourquoi réintroduire des loups ? Pour la biodiversité ? mais c’est aussi « contre les chasseurs » … car si les grands prédateurs tuent assez de gibier, les chasseurs peuvent pendre leur fusil au clou… Semblablement il y a bien des gens qui voudraient que les militaires pendent leur fusil au clou…
Mais les loups ne sont pas idiots : s’il y a des moutons faciles à prendre pourquoi se fatiguer à courir derrière un cerf ?
Y a-t-il danger pour l’homme ? L’histoire de Chaperon Rouge n’est pas tombée du ciel… mais surtout une sommité comme Couturier écrit que « L’ours n’attaque pas l’homme, mais de temps en temps, on ne sait pas pourquoi, il tue quelqu’un »…
Quand un troupeau de moutons est effrayé (par un loup mais aussi par un chien, promeneurs attention à vos chiens! ) il se met à courir et il n’est pas rare que des dizaines de moutons sautent dans un ravin… où ils se cassent les pattes et crèvent lentement…
Que faire ? les adversaires du loup ne doivent pas les abattre et risquer les foudres des bien-pensants, mais engager de bons réalisateurs et tourner des documentaires sur la façon dont les loups éventrent les brebis et montrer clairement et avec le son et en temps réel comment les moutons agonisent… et passer ces documentaires à la télé et dans les festivals. Discuter avec des citadins est inutile, il faut le leur faire voir et entendre, et si c’était possible, leur faire sentir l’odeur de la mort et de la putréfaction.
C’est pas qu’on est contre le loup, bien au contraire : libérer des loups et des ours dans nos contrées pour les abattre tôt ou tard ça c’est de la maltraitance !
Les loups et les ours ont, autre part, de vastes habitats où ils peuvent vivre en paix, laissons-les où ils sont. Et puis, on peut aussi être du côté des brebis !
Le loup s’en prendra d’autant plus vite à l’homme qu’il perd l’habitude de se faire chasser.