Pascal Décaillet: Presse romande, « une uniformité hallucinante ». Interview

Journaliste vedette de la chaîne privée genevoise Léman bleu, auteur d'articles remarqués sur l'unanimité des médias contre l'initiative UDC, Pascal Décaillet dit son sentiment quant à la situation politique des médias romands.

Et de dénoncer sans ambages cette "uniformité hallucinante du monde éditorial" local. "On a le sentiment que tout le monde nous dit la même chose." Seulement, pour le journaliste indépendant, la diabolisation systématique, fille de la pensée automatique, ne passe plus: "Je suis écoeuré par l'uniformité grisâtre !"; c'est dit.

Il redit encore son attachement à l'ouverture des frontières, toute proportion gardée, le droit de disposer librement de ses propres ressources et territoire et confesse une tendresse toute particulière pour l'agriculture de notre pays. Agriculture qu'il craint de voir pâtir trop lourdement de certains excès; le libéralisme ne doit pas être la réponse à tout.

Pas un seul éditorial en faveur de l'initiative depuis le début de la campagne, les médias privés, les journalistes, semblent souffrir d'une "censure auto-suggérée". La presse doit quitter le petit monde dans lequel elle se trouve pour atteindre le plus grand nombre. Le service public, lui aussi, doit évoluer, le public redevable, imposé, ne doit plus tout accepter.

Un vrai grand média de droite conservatrice manque encore en Suisse romande. "Nous devons réunir nos énergie pour combler ce déséquilibre". C'est un appel !

 

Interview de M. Pascal Décaillet, lesObservateurs.ch 31.01.2014

10 commentaires

  1. Posté par Robert Erard le

    Comment peut-on souhaiter du conservatisme???
    Le conservatisme est un mot accusateur, une manière de dénoncer son interlocuteur que l’on trouve trop ennuyeux. Le « conservateur » semble être nécessairement idiot (dans son sens aristotélicien), toujours de courte-vue, quelqu’un qui ne vit pas avec son temps et qui aspire à vivre le temps de ses grand-parents et arrière-grands-parents. Le conservateur est celui qui est méfiant, a peur et se retient piteusement d’avancer. Comment dès lors peut-on se revendiquer comme conservateur?

  2. Posté par G. Vuilliomenet le

    Il paraît que le capitalisme est une imposture.

    Je vais donc vous présenter un autre imposteur socialiste qui se fait le larbin de ces damnés capitalistes. Je rappelle que l’individu à l’image de sa centrale, est contre l’initiative.

    http://dawhois.com/www/carlosommaruga.ch.html

    Chacun appréciera, principalement les travailleurs qu’ils soient de Genève ou d’ailleurs en Suisse, toutes nationalités confondues.

  3. Posté par G. Vuilliomenet le

    « Ne rendons pas les étrangers responsables du « dumping salarial ». » (M.Sommer)

    Mais êtes-vous contre la préférence nationale en cas de niveau égal de formations et d’expériences?

  4. Posté par Ueli Davel le

    Michel Sommer, de plus en plus de patrons, de DRH ne sont plus Suisse. Ce qui compte c’est pas le passeport à Croix Suisse mais bien le bonus et la qualité de vie que nous leurs offrons. C’est une simple constatation et un peu triste pour nos hautes écoles.

  5. Posté par adalbert le

    @Michel Sommer : vous avez parfaitement raison et c’est pourquoi il faut voter « oui » à l’initiative de l’UDC, qui est nullement xénophobe, puisqu’elle vise à protéger les Suisses et les résidents étrangers établis régulièrement dans notre pays. Concernant « l’uniformité hallucinante » des médias romands, sachez M. Décaillet que votre opinion est largement partagée par de très nombreux citoyens : cette dictature de la pensée unique tourne au grotesque, on imagine que la censure et l’auto-censure sévissent à plein régime dans les rédactions ! Mais revenons à la votation sur la régulation de l’immigration, un enjeu exceptionnel et dont l’issue est très incertaine, ce qui sème la panique dans l’establishment. Plusieurs internautes ont d’ailleurs évoqué sur ce site leur crainte quant à la possibilité de fraudes massives pour fausser le résultat du scrutin. Sans céder à la paranoïa, cette hypothèse n’est pas à exclure, notamment avec le vote par correspondance, dont je me méfie beaucoup quant à la garantie d’inviolabilité du secret du vote. Un bon conseil : votez le plus tard possible !

  6. Posté par Michel Sommer le

    Ne rendons pas les étrangers responsables du « dumping salarial ». Il n’est le fait que de patrons – en Suisse – peu soucieux du bien être commun et qui confondent leur tiroir-caisse avec leur passeport à croix-blanche.
    En cela l’Etat devrait être plus vigilant

  7. Posté par raminagrobis le

    Pour l’immigration de masse, nous avons une belle brochette de souteneurs internationalistes qui en tirent un large profit et qui laissent le débit fiscal aux contribuables lambda. Ainsi les pourfendeurs de Dieudonné, tel que Jacques Attali, économiste…, écrivain plagiaire mais toujours encensé et publié, autoproclamé conseiller de plusieurs générations de présidents français avec les résultats que l’on connaît, ou la verte crypto communiste Cécile Duflo, universitaire avec un diplôme d’études approfondies en géographie qui situe le Japon dans l’hémisphère sud…
    Chez nous les verres s’entrechoquent aussi, tels ceux de Robert Cramer et d’Antonio Hodgers souteneur des sans-papiers, qui font santé à l’irresponsabilité, à ses profits inavouables et ses surélévations… sans oublier le super bonus des verts, Michèle Kunzler toujours dans les mémoires.

    L’endettement public n’est-il pas le moteur de cette escroquerie ? Cette cavalerie à la Madoff, qui consiste à laisser envahir le pays par une faune de profiteurs sociaux, lesquels servent à affranchir les responsables politiques qui divisent ainsi la dette au fur et à mesure des arrivées. Au passage, ils se délivrent des certificats de bonne gestion tout en attendant leur retraite pour pouvoir passer la patate chaude aux suivants. Qui vont faire quoi ? Exactement la même chose. Soutenir l’immigration de masse avec ses profits pour les uns et ses débits éternellement à charge des cochons de payants jusqu’à la faillite et la pauvreté finale de tout un peuple asservi.

    Maintenant le Conseiller fédéral Ammann, nous recommande de voter avec sa tête et pas ses pieds, sans préciser à qui ils appartiennent. Etre élu après avoir rapatrié des centaines de millions planqués dans un vrai paradis fiscal comme Jersey, n’est-ce pas plus pour étouffer dans l’œuf toute velléité de critiques que pour le bien-être des citoyens ? Et ces fonds, ne servent-ils pas à financer cette odieuse campagne pour le oui ? Visiblement Christoph Blocher, tenant du non, est un entrepreneur plus vertueux, parce qu’il paie ses impôts et qu’il sait de quoi il parle. S’il était un fuyard fiscal, il y a bien longtemps qu’on le saurait et il serait bien logiquement pour le oui.

  8. Posté par Pierre Jenni le

    Merci pour cet interview. Pour la première fois j’entends un appel clair pour une redéfinition du service public audio-visuel. Pourvu qu’il soit entendu !
    Merci Monsieur Décaillet pour votre passion et votre engagement. Vous formez à vous tout seul l’unique contre-pouvoir un peu visible de notre république.

  9. Posté par TS le

    Voici des documents qui aident à comprendre l’enjeu de souveraineté de cette votation historique, afin d’assurer un futur indépendant pour la Confédération suisse. Et tout d’abord un texte relatif à l’initiative à lire, à faire lire et… aussi à redistribuer ! :

    DOCUMENTS EN FAVEUR DE L’INITIATIVE CONTRE L’IMMIGRATION MASSIVE ( vers. XXVI/2014 )

    1 Les pays industrialisés reconnus (Canada, USA, Japon, Inde, etc.) disposent tous d’une politique d’immigration. Elle leur permet de lutter contre l’immigration illégale, le travail au noir, le dumping salarial, la précarisation des conditions de vie dans le pays, la criminalité et le chômage montants. Invoquer la libre circulation UE comme principe fondamental pour refuser ce droit de contrôle aux Suisses est irrespectueux de la part de nos élus politiques. Aujourd’hui, les accords bilatéraux privent la Suisse d’une capacité de mise en œuvre d’une politique d’immigration autonome, non conforme à la volonté de Bruxelles.

    2 Sur recommandation du Grand Capital, l’EU fédérale a édité la directive concernant le détachement des travailleurs étrangers sur un modèle ultralibéral permettant la mise en concurrence des peuples à l’intérieur des frontières européennes (salaires pratiqués selon le niveau dans le pays du lieu de travail additionné des charges sociales pratiquées dans le pays d’origine). Ce principe fondamental, lié à la libre circulation, est un rouage indispensable de cette machine «Europe» destinée à soumettre les peuples. Issu du «Pacte de l’Euro», il démantèle la capacité de résistance des peuples européens face à la domination du capitalisme en les réduisant économiquement et socialement. En 2005, lors des votations sur les accords bilatéraux, notre classe dirigeante ne nous a pas expliqué les conséquences de ces dispositions européennes. Elle a préféré mettre l’accent sur des mesures soi-disant accompagnatrices qui se sont révélées finalement volontairement inappliquées, eu égard au respect des règles de l’UE fédérale (motion de la Conseillère nationale Viola AMHERD qui n’a pas été reçue).
    Pourquoi la Suisse a-t-elle imposé aux entreprises du gros-œuvre de la construction le modèle de « la responsabilité solidaire des entreprises face à l’immigration de masse due à la libre circulation » ?
    Réponse : notre classe politique dogmatique, eu égard aux accords bilatéraux qu’elle ordonne en accord avec Bruxelles, applique la politique élaborée par cette dernière. Ainsi dès le milieu de l’année 2013, la Suisse a mis en pratique une nouvelle disposition de cette directive européenne, relative à la responsabilité solidaire aux seules entreprises de construction (plus tard ce sera le tour des autres branches économiques, en fonction du souhait de Bruxelles). Cela sans débat en Suisse et bien avant que cette responsabilité solidaire fasse l’objet d’un accord définitif et clair entre les 28 membres de l’UE… Dans l’UE fédérale, elle n’entrera en vigueur probablement qu’en 2016, a souligné Mme Annick LEPETIT, porte-parole PS rapportant ces propos du groupe des députés socialistes français à Bruxelles !
    En Suisse à travail égal on tend à donner un salaire égal. Or maintenant, en raison de la directive européenne, la concurrence est déloyale ; car il est possible de verser à un travailleur européen détaché en Suisse un salaire et des charges sociales inférieures de plus de 30% à ce qu’elles sont pour les travailleurs fixes. Avec cette distorsion résultant des accords bilatéraux, comment les entreprises utilisant du personnel établit en Suisse peuvent-elles encore garantir de bonnes conditions sociales à leurs collaborateurs, face à des concurrents/dirigeants cupides desserrant leurs responsabilités sociales et dévalorisant ainsi économiquement les formations et le travail de la population de notre pays ?
    Des mesures d’accompagnement futures, maintes fois, annoncées par la Suisse et /ou par l’UE fédérale ne règleront rien… en accord avec le Grand Capital. Ainsi en Suisse, le contrôle de l’immigration massive en votation constitue le moyen de rajustement uniforme du niveau de vie du pays, actuellement menacé par une pratique de concurrence déloyale d’origine européenne autorisée par les accords bilatéraux dans notre économie.

    3 Avant les accords bilatéraux avec l’UE fédérale, la Suisse disposait d’une économie qui fonctionnait déjà… clients et entreprises commerçants auparavant par-dessus les frontières, sans accords bilatéraux. Un bon produit s’impose de lui-même. N’ayons crainte de remettre en cause ces accords bilatéraux : les produits de qualité renverseront toujours toutes les barrières pour arriver vers une clientèle séduite et ainsi s’imposer. Retrouvons le goût du bien commun qui se perd, protégeons la solidarité nationale en danger et soutenons la paix sociale à travers la répartition de l’aisance, 1er rôle social des entreprises.

    4 Etre contre l’immigration de masse, c’est surtout permettre l’entrée d’immigrants aidant à renforcer le bien-être du pays, face à une politique d’ouverture non maîtrisée par l’UE. Cela en répartissant mieux les revenus entre tous – gage de la paix sociale – et par une lutte efficace contre : le travail au noir, l’immigration inégale, la criminalité, le dumping salarial, le chômage montant et la précarisation des conditions de travail en imposant aux travailleurs entrants en Suisse des salaires et des prestations sociales agréés par les partenaires sociaux suisses.

    5 Le contrôle des immigrants ne compliquera pas le recrutement de main-d’œuvre étrangère. Au contraire, il va l’optimiser en permettant d’accueillir en nombre les travailleurs dont nous avons besoin, sans exhumer le statut de saisonnier dépassé. Cela contrairement aux affirmations des personnes favorables à l’UE fédérale.

    6 Le contrôle de l’immigration ne demandera pas plus de travail administratif que la situation actuelle ne l’exige, puisque les travailleurs étrangers doivent déjà aujourd’hui régulariser leurs rapports de travail. Seuls les papiers échangés différeront de ceux actuellement. Dans un même temps une baisse des effectifs de police et un regain de respect du savoir-vivre et des mœurs suisses pourraient être appréciés par tous…

    7 Etre contre l’immigration de masse ne permettrait-il pas de renégocier avec l’UE fédérale ? Et même si, en raison de la clause guillotine, tout l’édifice bilatéral s’écroulerait, cela constituerait-il vraiment une menace rédhibitoire pour notre économie? Soyons pragmatiques : la Suisse est un petit hors-bord économique et non un pétrolier. Multiplions des accords économiques respectueux avec des pays d’Asie. Il y a là-bas un avenir pour notre Etat-nation.

    8 Une politicienne a dit que le contrôle de l’immigration est un poison pour la Suisse. Elle ne considère pas la grande quantité de mauvais cholestérol que nos accords bilatéraux avec l’UE fédérale déversent dans notre économie, sang de notre pays : dumping salarial, risque de coûts accrus du chômage, démographie et insécurité ainsi qu’incivilité montantes, perte de notre culture et de nos valeurs, pollution grandissante, augmentation des fréquences d’expertises des véhicules, obligation d’allumer les phares, contraintes sans valeur ajoutée pour devenir « euro-compatible », etc. Le peuple suisse supporte beaucoup d’obligations jugées inutiles. Il souffre de la baisse de sa qualité de vie, de ses routes surchargées, de ses trains bondés, de ses écoles et de ses hôpitaux débordés !

    9 Les politiciens suisses affirment que la paupérisation grandissante, résultant de la concentration du capital et du pouvoir en main d’un tout petit nombre, est causée par la crise économique. Aussi pour y voir plus clair, il y a lieu d’évoquer une suite vraisemblable :
    En même temps que cette course effrénée à la concentration des richesses et du pouvoir, Economie Suisse nous propose d’engager les femmes pour lutter contre l’immigration de masse. A première vue, cette proposition séduisante permet aussi à certains ménages – de la classe moyenne – de rester à flot en envoyant épouses et mères de famille au travail. Certes, l’émancipation des femmes joue un rôle important, ainsi que l’offre croissante d’emplois dans le secteur des services où l’activité est moins pénible que dans l’industrie. Mais cette féminisation du travail est surtout dictée par la nécessité… d’atteindre les buts économiques visés. Grâce à cela, demain les salaires pourront à nouveau baisser et le supplément de revenu deviendra à terme insuffisant pour prendre en charge les frais de garde d’enfant(s) …, comme c’est d’ailleurs déjà le cas aujourd’hui en Espagne et au Portugal.
    Puis, lorsque ce levier financier sera totalement exploité, il nous sera proposé un deuxième mécanisme d’adaptation : tous ceux qui le pourront allongeront leurs temps de travail. D’autres, de plus en plus nombreux, cumuleront deux ou trois emplois exigeant chacun au moins 20 ( ?) heures de présence. Le troisième mécanisme sera alors la ponction de l’épargne et le recours massif au crédit simple ou hypothécaire gagé sur la résidence principale, dont la valeur ne cesse(ra) d’augmenter… jusqu’à l’effondrement de l’immobilier et le rachat des plus beaux morceaux par…, devinez qui ?
    C’est ainsi que le dépouillement et l’asservissement des peuples s’obtient pour le Grand Capital, au nez et à la barbe des honnêtes travailleurs, des bien-intentionnés, des ignorants et des simples d’esprit, tous collaborant à leur insu. Aujourd’hui, les armes sont essentiellement économiques : la pauvreté (réduction de la force du peuple) et la dette (asservissement du peuple)… Aussi il faut être conscient que, durant cette dernière décennie en Europe, les actions du Grand Capital, agissant à travers les organes de l’UE fédérale, ont été couvertes de succès retentissants : il dispose désormais d’une vaste zone territoriale et d’une population à coûts de production de plus en plus faibles, avec des systèmes sociaux différents aux services des populations qui seront finalement déclarés contraires aux règlements économiques européens que la Bruxelles fédérale développe…

    Lire les « PRINCIPES DE RICARDO », chapitre 7, d’après l’essai de Robert TORRENS : (…) le taux de profit ne peut jamais hausser qu’en raison d’une baisse des salaires.

    10 Pour réduire un peuple en esclavage, on pénètre son territoire, on s’installe chez lui et on lui confisque ses droits, en particulier celui de battre monnaie. De façon inavouée, l’Europe fédérale poursuit la dissolution des Etats-nations en imposant des pratiques de coûts de main-d’œuvre inégaux, appauvrissant ainsi les Européens et permettant de dévaloriser les places de travail existantes en Suisse ! Cette misère montante est révoltante. Un oui le 9 février prochain en faveur de l’initiative contre l’immigration massive permet à la Suisse de reprendre le contrôle des salaires et des charges sociales pratiqués par les Suisses et par les travailleurs européens détachés en Suisse.

    11 Selon l’AFP, en France actuellement, un débat sur la limitation de l’immigration fait colère. Au-delà de ce thème récurrent inscrit au programme du Front National depuis longtemps, c’est maintenant l’UMP et son Président, M. Jean-François COPE, qui s’en emparent. Déclarant cette question « trop sérieuse pour être laissée à la gauche et aux démagogues de l’extrême droite », il dépose 41 propositions pour « reprendre le contrôle ». Dans un document de travail d’une trentaine de pages, le groupe de travail UMP coordonné par M. Hervé MARITON déroule des propositions qu’il veut « concrètes, fermes, et justes, inspirées des meilleures pratiques des grandes démocraties occidentales ». L’objectif, explique sans détour le député de la Drône au Journal Le Point, est de mettre en place une immigration non plus subie mais choisie. Un principe fondateur qui rappelle à s’y méprendre le projet porté par M. Nicolas SARKOZY en… 2006. « Nous ne voulons pas d’une immigration subie, nous voulons une immigration choisie », avait-il déclaré alors qu’il était ministre de l’Intérieur.
    Cette thématique fait également l’objet d’un rapport que la gauche au pouvoir conduit non sans quelques fuites provoquant une situation facétieuse entre le Président Hollande et son Premier Ministre… Ces évènements peuvent être compris grâce à Internet. Observez l’évolution de la France, comprenez le lien intime entre immigration non contrôlée et insécurité montante, conséquences des volontés de l’Europe fédérale et de ses mécanismes révélés fin 2013 à un peuple de France impuissant face à Bruxelles.

    12 …
    • Comprendre les motivations de l’actuelle UE imposant une Europe fédérale. Etre conscient des volontés de dissolution des Etats-nations poursuivies par l’UE.
    • Comprendre la différence entre l’Europe fédérale actuelle et une autre Europe respectueuse des peuples et de leurs différences : l’EUROPE DES ETATS-NATIONS.
    • M. David CAMERON (Angleterre) veut réformer l’immigration légale …
    • Volonté d’indépendance affichée par la Catalogne vis-à-vis de l’Espagne.
    • Emeutes en Grèce… ; Trajectoire des Français et de la France… ; Révolte des fourches en Italie…
    • Confiscation des dépôts bancaires (bail-in) à Chypres, et demain ailleurs …
    • Consulter les sites Web suisses et européens concernés et leurs blogs, etc.

    Puis toujours au sujet de cette initiative, encore des documents permettant de saisir les actions de l’Union Européenne actuelle, son « pacte pour l’Euro» et l’enjeu de souveraineté nationale pour nous les Suisses :
    http://www.lecontrarien.com/la-dissolution-de-letat-nation-18-12-2013-edito
    http://www.contrepoints.org/2013/12/31/151797-suisse-une-prosperite-en-trompe-loeil
    http://dessousdebruxelles.ellynn.fr/spip.php?article146 et http://www.ideologie-europeenne.fr/
    http://www.dailymotion.com/video/x19q8n6_nigel-farage-antonis-samaras-vous-etes-une-marionnette-de-goldman-sachs-15-01-14_news et http://dessousdebruxelles.ellynn.fr/spip.php?article184

    Enfin, pour connaître comment, dès 1992, nos politiciens ont modifié la Constitution pour retirer au peuple suisse sa souveraineté et pourquoi maintenant ils ne peuvent que s’en remettre aux exigences de l’UE, voici trois articles et une vidéo. Notamment pour comprendre cette sorte de grande alliance de notre classe politique supérieure qui, quittant le contrat social qui unissait le peuple suisse, ses partis politiques et la Confédération suisse, se légitime par l’idéologie «économiste» et par les règles européennes de déséquilibre économique qu’elle autorise, à la satisfaction du Grand Capital et de l’Europe fédérale :
    http://leblogalupus.com/2013/12/31/la-democratie-suisse-a-lepreuve-de-la-mondialisation/
    http://lilianeheldkhawam.wordpress.com/2013/09/05/la-democratie-suisse-devoyee/
    http://www.adimante.ch/extrait.jset?uid=1 et http://www.youtube.com/watch?v=jGqMSj-lj8M

    Et demain, lorsque les politiciens ambitionneront de nous limiter ou de nous retirer notre droit de referendum sous prétexte d’abus, ils mettront un terme à plus de 700 ans d’indépendance de la Nation Suisse et de son peuple souverain. Soyons lucides dès maintenant !

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