Une autre vision de la Crise, une bien triste sortie de Crise

Bruno Bertez
Bruno Bertez
Analyste financier anc. propriétaire Agefi France

 

Je finis par penser que la crise, ce que l'on appelle « la crise », est une poudre que l'on jette aux yeux des citoyens pour les aveugler. La crise, comme tentative de faire émerger un ordre nouveau plus satisfaisant, a dérapé. Elle a failli à sa mission. « Ils » sont en train de gagner.

En 2005, une note de Citigroup a fait scandale. Un scandale restreint car elle a été retirée de la diffusion et caviardée. Cette note défendait l'idée qu'en matière d'investissement, il fallait « jouer », miser sur la Ploutonomy. La Ploutonomy, c'est l'économie par et pour les ultra-riches. La note expliquait que la conjonction :

- de la globalisation

- de l'argent bon marché et abondant

- de l'arbitrage international du travail

- de politiques favorables au capital et à la spéculation

- des innovations technologiques

- des progrès de l’ingénierie financière

allaient bénéficier considérablement aux ultra-riches et que ceux-ci allaient créer une économie à deux vitesses rendant toutes les mesures moyennes inadaptées.

La note prévoyait la mise en place d'une économie et de comportements tout à fait spécifiques dont les investisseurs devaient tirer partie. Citigroup avait créé un indice spécial représentatif de cette économie ploutocratique.

Ce qui nous intéresse n'est pas là. Ce qui nous intéresse, c'est le fait que la crise de 2008/2009 n'a pas remis en cause la Ploutonomy, au contraire, et que Citigroup a estimé que rien ne pouvait remettre en question son analyse. Sauf, disaient les auteurs, si des forces sociales et politiques  se déchaînaient, forces qui pourraient se conjuguer  afin de contrecarrer la tendance à toujours plus d'inégalités de revenus et de patrimoines, et si ces forces s'opposaient au maintien à un niveau incroyablement déséquilibré du partage des valeurs ajoutées dans les économies.

Il faut constater que nous en sommes là, la Plutonomy n'a cessé de croître et s'enraciner. Et le fait que Davos se soit intéressé à la question des inégalités, dans son infinie bonté, ne fait que valider les prévisions de Citigroup.

La crise,  semble-t-il a été dialectiquement retournée: de quelque chose de douloureux, mais de l'ordre d'un accouchement, les élites, ceux que j'appelle les dominants,  en ont fait une opportunité. Une opportunité pour elles, pour   franchir à marche forcée les étapes vers le monde, la structure du monde global à deux vitesses qu'elles veulent imposer.

Nous en arrivons à cette conclusion d'étape, d'abord et avant tout, à partir de l'analyse de ce qui se passe au niveau européen, car le chemin au niveau mondial est encore long. Le traité qui a été imposé par Merkel à la suite de la crise de 2010 n'aurait jamais été envisageable sans l'effondrement de la solvabilité des pays du Sud et sans les attaques scélérates des Anglo-saxons contre la charnière centrale de la construction européenne qu'est la France.

Le TSCG, ce Traité que nous désignons souvent par le Traité Sarkozy-Merkel, parachève en quelque sorte les étapes précédentes, celles qui ont supprimé la souveraineté monétaire, celles qui ont favorisé les transferts de pouvoirs aux fonctionnaires supranationaux,  l'abandon des contrôles des parlements, la suprématie du droit communautaire, etc.  L'Europe, depuis le TSCG, en tant que système, est en réaménagement subreptice total. On a enlevé aux parlements nationaux le droit de décider des impôts, de voter les dépenses. De choisir les orientations des politiques publiques. On impose maintenant le modèle social européen, contrôlé par les technocrates, la BCE, le FMI et même l'OCDE. Les directives, les règlements, les supervisions et maintenant, les « contrats » voulus par Merkel, ont vidé de toute substance la souveraineté nationale.

Qui ne voit à quel point Hollande est pitoyable dans sa tentative de faire passer pour une décision personnelle et française le grand subterfuge du « Pacte de Responsabilité ». Il tente de faire passer pour sienne une décision imposée par l'extérieur. Le meilleur révélateur en a été le chorus d'applaudissements que cette annonce de Hollande a déchaîné. La claque a été trop peu discrète.

Les instruments d'une politique autonome, nationale, ont été, soit détruits, soit transférés. Les deux plus importants, mais il y en a beaucoup d'autres, le monétaire et le budgétaire, ne sont plus, ni dans les mains des institutions nationales, ni dans les mains des exécutifs et législatifs souverains, non ils sont transférés. Ce qui s'est passé, ce qui est en train de se passer, c'est le Grand Transfert,  complément du Grand Remplacement de peuple, c'est  la mise en place d'un ensemble Post-Démocratique.

Et, en attendant que tout soit en place, on neutralise, on détruit. On neutralise par les directives, les contrôles et les « contrats » passés avec les Maîtres européens. C'est le sens du discours de Nouvel An de Merkel, révélé en clair en Janvier dans Le Monde, cet auxiliaire d'asservissement: « Nous ne pouvons plus en Europe communiquer de manière diplomatique. Nous devons, comme en politique intérieure, aborder les problèmes sans fioriture et les résoudre ainsi ».

Les idiots n'ont pas commenté ces lignes terribles. Pourtant, Merkel dit: c'est la fin de la diplomatie, donc la fin de la souveraineté nationale! Elle dit que tout doit être réglé comme les problèmes intérieurs, mais sous quel contrôle démocratique ? Aucun, bien sûr. C'est un monde où règne la technocratie, il n'y a que des problèmes à résoudre bien sûr, pas de choix politique, en fait il n'y a qu'une solution, celle de Merkel et des eurocrates réunis. La politique, le choix des peuples, est évacué, il n'y a que des problèmes, c'est X-Crise, c'est la Synarchie, la Cagoule, c'est le vrai Fascisme. Il y a ceux qui savent, et il y a les autres. On ne choisit plus son destin de peuple, on se plie au destin implicite contenu dans des modèles économiques idéologiques élaborés ailleurs.

On détruit, par ce que l'on appelle improprement « les marchés ». Nous y insistons , nous disons improprement car il n'y a pas plus de marchés, en ces années,  que de beurre en branche dans le système actuel. Parler de marchés est une escroquerie, une mystification, il n'y a que des lieux de manipulations, des champs de bataille truqués, des soi-disant marchés, dirigés, auxquels on, le grand « ON », fait dire aux gogos ce que l'on veut qu'ils disent. Un peu comme dans les sondages.

Le marché est un imaginaire qui recouvre :

1)      l'espace manipulé par les Pouvoirs

2)      ce contre quoi on prétend lutter pour tuer ce qui reste d'expression des libertés individuelles.

Le marché s'est dialectiquement retourné contre ce qu'il avait pour fonction de préserver, le choix, la liberté. Le marché est l'espace balisé par le plus fort, espace où il fait s'affronter les autres pour en tirer les marrons du feu et renforcer son imperium. Les tyrans faisaient s'affronter les esclaves dans l'arène afin de les monter les uns contre les autres et de les affaiblir.  Le marché est un grand champ de désinformation où se manifestent les combats des Banques Centrales complices et en même temps rivales,  les combats pour détruire tout ce qui résiste au rouleau compresseur de la globalisation version américano/compradoro/financière, toutes les couches sociales archaïques, larguées par cette mondialisation.

Le marché, ce faux marché où les paramètres et valeurs essentielles sont truqués ou imposés, est un instrument de destruction des formes récalcitrantes. Les marchés  sont au mains des géants de la Finance, protégés par les Guelfes des Banques Centrales  Ils constituent un instrument de géopolitique; confère ce qui vient de se passer avec le coup de force de la dévaluation japonaise destinée à renforcer le nippon pour contrer le chinois. Un outil pour saboter  ces formes qui s'opposent encore à l'extension du Pouvoir des Maîtres, Kleptos, Ploutos, Politiciens, Fonctionnaires complices, Médias connivents.

Ce faux marché, statistiquement non réparti, oligopole, manipulé, dirigé, est un outil qui sert à propager le monde à deux vitesses, le monde du développement inégal, ce monde dans lequel il y a les gagnants de la globalisation/mondialisation, les nouveaux seigneurs et, de l'autre, les perdants, les manants, les futurs serfs bêtement attachés à la terre de leurs ancêtres.

Ce faux marché que les idiots « béni oui-oui » à courte vue encensent, alors qu'il est le champ où se déroule leur destruction.  Les défenseurs du libéralisme actuel sont des idiots s' ils ne font pas le travail de base qui consiste, d'abord et avant tout, à montrer, à démontrer que nous nous sommes pas dans un système libéral, pas dans un système de marché, mais dans un système d'économie et de pouvoir dirigés dont l'objectif est l'asservissement.  Il y a d'un côté ceux qui devraient, comme les gladiateurs  dans l'arène combattre  à mort, s’entre-tuer librement (!) et de l'autre, dans les gradins et sur les trônes, les maîtres qui, eux, échappent à la soi-disant loi du marché, s'en exonèrent et prospèrent sur les dépouilles. A eux les Pouvoirs, les fastes, les palais  et les femmes, n'est-ce pas Hollande!

N'oubliez jamais que la construction européenne, nous y reviendrons,  n'a pas seulement détruit les instruments de la régulation et de la souveraineté nationale, elle a imposé par l'Acte Unique, le règne absolu de la Concurrence. Soit-disant concurrence bien sûr,car il s'agit essentiellement d'une concurrence destructrice dont la fonction historique et systémique est de détruire les formes économiques et sociales d'avant la dictature européenne, et d'avant la mondialisation, bref détruire tout ce que les Maîtres ont décrété comme étant archaïque.

Le règne de leur Concurrence, nous précisons bien, de leur Concurrence, c'est le règne de l'indifférencié. La concurrence a pour fonction de gommer, de tuer les différences, les spécificités. De ramener à un équivalent général. De faire disparaître les conditions de l'origine.

La Concurrence dit: « le travail du chinois vaut celui du Français, celui du Suisse; le produit là-bas équivaut au produit ici ».  La Concurrence, leur Concurrence, produit un ordre du monde nouveau, banalisé, sans spécificités, sans différences. Tout doit devenir Commodity, tout doit devenir marchandise soumise à équivalence. Qui dit équivalence dit pouvoir d'imposer cette équivalence, de dire ceci équivaut à cela  et surtout de pouvoir en profiter pour faire des arbitrages, pour tirer parti de l'écart. Les trente dernières années sont celles de la mutation du capitalisme productif en capitalisme d'arbitrage à l'anglo-saxonne. Le capitalisme a cessé d'exister, en tant que système de production, il est devenu système d'arbitrage. L'extraction de la plus-value se fait par le jeu sur les valeurs et l'échange inégal, il ne se fait plus, pour la sphère développée, par la production/exploitation.

On le voit chaque jour sur les marchés financiers, il n' y a plus d'investisseurs, il n'y a que des mafias dont la « mission » est l'arbitrage. Elles arbitrent l'argent gratuit des Banques Centrales contre des autres papiers, des actions, des bonds, des instruments de crédit dont on a assuré la fongibilité, par des théories fausses. C'est ce que nous avons appelé en son temps: l'unification du champ des assets financiers, et maintenant immobiliers, sous la houlette des Banques Centrales par le biais de la manipulation des taux, du prix du risque et le « Put » généralisé.  Qu'est-ce que le fameux QE,  si ce n'est l'arbitrage gigantesque, historique, entre le mistigri des liquidités qui ne rapportent rien et les assets qui rapportent encore un peu, le tout sous la bénédiction, la guidance des Guelfes.

D'où les processus complémentaires et indissociables, de suppression des différences, de généralisation de la non-différence. Les Maîtres ne veulent voir qu'une seule tête, sans distinction de race, de nationalité, de genre sexuel. Vous comprenez mieux le sens profond des attaques contre la famille, la nation, la patrie, la race, la culture, le sexe. Tout ce qui fait différence, tout ce qui produit une différenciation est l'ennemi de ce système. Le Grand Remplacisme des populations en cours, fait évidemment partie de ce qu'il faut imposer.

La fameuse main invisible du marché est tellement grosse, géante, que c'est vrai , on ne la voit pas. Elle crève les yeux, les privant de toute possibilité de voir.

- Qui fixe les règles du jeu? Les Etats-Unis.

- Qui contrôle la monnaie mondiale qui impose les équivalences? Les Etats-Unis.

- Qui fixe le paramètre majeur de la vie économique, les taux d'intérêts? Les Etats-Unis.

- Qui a le marché financier dominant, l'ancrage de  la valeur de tout chose ? Les Etats-Unis.

- Qui fixe la référence du coût du capital mondial, variable clef de l'investissement, et donc du chômage? Les Etats-Unis.

- Qui fixe la valeur des grands inputs des économies. Matières premières, énergie, etc? Les Etats- Unis?

- Qui gère l'universel,  le modèle culturel, les désirs ? Les Etats-Unis.

- Qui fixe la valeur des marchandises échangées sur le marché international? Le couple concurrent/connivent Etats-Unis/Chine, la Chinamerica.

Il n'y a pas de marché, nous sommes dans un système dont les règles du jeu et les variables essentielles sont fixées par le plus fort, le détenteur de la puissance impériale et son atelier de serfs, la Chine et ses vassaux géopolitiques et militaires, le Japon et les Pétromonarchies.  Et le sens de la construction européenne est de faire rentrer l'ensemble européen dans ce système de vassalité. Car ne vous y trompez pas, la construction européenne n'est européenne que de nom, elle n'est que la constitution d'un sous-ensemble dans un système plus vaste, féodalisé, post-démocratique, subordonné aux objectifs de ce capitalisme perverti. Ce qui se construit, ce n'est pas une Europe, c'est un magma informe, une masse, appelée à rejoindre la grande Zone Transatlantique de Libre Echange voulue par les Américains et applaudie par la Commission.

Quand le Maître accorde une faveur à ses vassaux japonais de dévaluer comme ils viennent de le faire, alors, les autres vassaux doivent s'incliner et accepter de subir la concurrence du vassal japonais qui bénéfice d'un « bon de pillage » de la demande mondiale, c'est à dire européenne. Les Maîtres réorganisent leurs jeux, leurs échiquiers, sur lesquels nous ne sommes qu'un pion...des pions  réactionnaires, racistes, ringards et pourquoi pas, pour faire bonne mesure antisémites!

La fonction de ce pseudo marché est de véhiculer les valeurs, les prix, la concurrence, qui doivent  détruire les formes rebelles, archaïques. Mais elle est aussi de dénigrer la vraie économie de marché et de liberté des hommes, des entrepreneurs, selon un procédé vicieux. Tout ce qui foire, c'est le marché et tout ce qui est bien, c'est eux, les Maîtres. Ils corrigent, disent-ils, les imperfections du marché! Ils se donnent ainsi le droit de limiter, de contrôler votre liberté, vos préférences, telles que vous cherchez à les exprimer sur les marchés. Les marchés ne sont plus un lieu de confrontation de vos préférences individuelles, d'échange de vos efforts et de vos peines, non ce sont des lieux d'esclavage tenus par une Main de fer, dissimulée derrière la propagande anti-marché, anti-libérale.

La financiarisation est produite par les Maîtres, elle est inséparable de la globalisation.

Globalisation et finance marchent la main dans la main, tout comme on l'avait vu lors de la première grande mondialisation, celle qui avait conduit à la guerre de 1914. On se reportera à l'ouvrage de Suzanne Berger « Notre Première Mondialisation ».Tout comme le progrès technique, tout cela forme un ensemble, mais nous verrons cela plus tard.

Pour globaliser, il faut recycler les excédents et compenser les tendances déflationnistes à la baisse des prix en créant sans cesse de la monnaie, ce  qui produit à jets continus de nouveaux assets financiers qui entretiennent et aggravent les inégalités. Puis, on se sert des inégalités pour taxer les classes moyennes en laissant le Très Grand Capital prospérer. Si on laisse se développer les tendances à la déflation, alors le système saute, puisqu'il est basé sur le crédit et les dettes, lesquelles, dans les déflations, renchérissent et rendent le système  insolvable de proche en proche. Ainsi, on gouverne et on impose par le spectre de la révulsion générale, on instrumentalise le chaos, ainsi tout est permis.Cela fait se tenir tranquille les peuples.

 

Vous vivez dans une économie de marché dirigé, instrumentalisé, pilotée dont l'objectif est triple :

1)      véhiculer la destruction

2)       renforcer le pouvoir des Maîtres

3)       Gagner  en se posant comme dénonciateurs des effets négatifs des soi-disant marchés.

Ceux qui défendent le libéralisme et l'économie  de marché dans les circonstances présentes sont de fossoyeurs à courte vue: ce sont des idiots utiles, comme l'on dit. La tache essentielle des amoureux de la liberté et des récalcitrants au nouveau féodalisme est de montrer que nous ne sommes pas en économie de marché, pas en économie libérale, et que, défendre le système actuel, c'est donner aux autres, aux ennemis de l'aide,  aide pour nous asservir.

Les gens de l'ultra-gauche qui continuent  de  crier haro sur le libéralisme, en fait, sont les complices objectifs des  Maîtres exploiteurs. Il faut, dans les analyses critiques, intégrer les renversements, les mystifications, dont le modèle est contenu dans cette phrase simple: «  A l'avenir, ce sont les fascistes eux-mêmes qui dénonceront les autres comme fascistes ». Il y a là un modèle de la propagande qui vise à faire prendre les vessies pour des  lanternes. « Ils ont dénaturé les marchés pour les rendre haïssables et ils se posent comme le recours contre ces marchés qu'eux-mêmes ont pervertis et pourris ». Nous sommes dans un système dans lequel les  pyromanes  se prétendent pompiers. Ils paupérisent, montent les gens les uns contre les autres, afin de pouvoir se poser comme arbitres ou protecteurs. Ils terrorisent, prétendent dominer la planète, détruire toutes les identités, suscitent la révolte, les rebellions, les jacqueries, puis prétendent vous en protéger. Au passage, ils gagnent le droit de vous taxer, de vous épier, de vous surveiller et, finalement, de vous punir:

Car exploiter ne suffit pas, il faut mater.

Bruno Bertez, 31 janvier 2014

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