Hier à Varsovie, un jugement a confirmé que le crucifix pouvait rester accroché au Parlement de Pologne. Le jugement précise que la présence du crucifix « ne porte atteinte à aucun droit ». Le verdict a ainsi rejeté la demande présentée par le parti polonais Palikot, un mouvement libéral-anticlérical, qui avait demandé le retrait de la croix de la chambre basse.
« Bien que la croix soit un symbole religieux, il ne peut être ignoré son importance comme symbole de l’identité nationale et de la culture polonaise » a argumenté le tribunal.
La décision judiciaire met fin à ce procès, débuté en 2011, quand un groupe de députés demanda d’enlever le crucifix du mur face à l’hémicycle qui domine la salle principale. Selon les requérants, la présence de la Croix violait « leurs droits à la liberté de conscience et de religion », tout en contrevenant aux dispositions de la Constitution polonaise et des directives de l’Union européenne.
Après le verdict, le leader du mouvement Palikot, Janusz Palikot, connu pour être viscéralement antichrétien, a critiqué la décision de la Cour et a dit porter le cas devant la Cour européenne des Droits de l’Homme de Strasbourg.
La Croix est installée au Parlement de Pologne depuis 2007, où elle fut placée de façon spontanée sans que personne ne l’ait retirée depuis. En 2011, un sondage d’opinion révélait que 71% des Polonais étaient favorables à la présence de la Croix au Parlement polonais.
Le jugement dont il est question ici a le courage de s’opposer à la débilité de la bienpensance et aux directives technocratiques européennes.
Bravo chers amis polonais, vous savez donner la priorité à votre identité nationale et à votre culture !
Nous avons beaucoup de choses à apprendre de la Pologne, à commencer par sa constitution qui dit que quiconque est bienvenu en Pologne à condition de respecter les lois, les us et coutumes et les traditions, et que ceux qui ne les acceptent pas ou veulent les remplacer doivent repartir. Je rêve que mon pays se dote de telles règles !
Aïe! Les pauvres choux! Leurs athéistes fois sont si faibles qu’un symbole religieux les plonge en défaillance! Je suis prêt à parier qu’ils n’aiment pas l’ail non plus. Mais que dirais-je de tous les symboles qui affligent mes regards? Où que j’aille! Aux couleurs des bannières romaines avec leur SPQR (si je ne me trompe pas). Ce rouge-noir-blanc des oriflammes du nazisme triomphant!
Interdit de fumer, de boire de l’alcool, de faire du patin à roulette, du skate board, de s’asseoir, de pique-niquer, de chanter… Je sais, j’en rajoute, mais si vous voulez la liste précise je vous la donne. Même les ballons pour enfant, gonflé à l’hélium sont interdits. Et même, hors symboles, un texte orne un couloir du métro de Bangkok. Lequel réduit à peau de chagrin celui des règles à observer dans la gare de la belle Genève internationale! Que faire de ces symboles? Qui m’offensent aucune foi mais bafouent les intelligences. Ou ce qui en reste. Vestiges auxquels va s’attaquer la nouvelle chef du DIP. Et ne rectifiez pas s’il vous plait. Quoi? … Ah, oui, vu sous cet angle vous avez raison. Je rectifie donc ainsi: le-la nouveau-elle chef-e du département de la science infuse. Je sens encore une nuance réprobatrice.
Ceci dit, la prévention et l’éducation des masses n’a pas encore inventé de pictogramme indiquant le mauvais goût de se curer le nez en public. Surtout avec les doigts de pieds.