Numerus clausus: faire de la place aux médecins étrangers

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Le Conseil des Etats vient de refuser sa suppression. La pénurie de praticiens est comblée par l'immigration. En 2012, 1000 médecins allemands ont ouvert un cabinet, contre 850 formé en Suisse chaque année). 50% des demandes émanent de médecins étrangers. La proportion a triplé en moins de dix ans.

Conséquence logique, lié par les accords de Bologne, notre pays n'est pas en mesure de juger de la qualité de formation de ses médecins.

En l'occurrence, le numerus clausus s'est transformé en quelques années en système organisé de distorsion de concurrence au désavantage exclusif du candidat suisse.

Et, bien sûr, l'on nous répétera à longueur de journée que l'immigration ne vient occuper que les emplois dont les Suisses ne veulent pas.

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