Pas de sharia, pas d’OCI
Hier, nous évoquions la situation de l’Angola, majoritairement chrétienne, et qui interdit l’islam et détruit les mosquées.
La Birmanie se joint à la lutte contre l’invasion par l’islam.
Le gouvernement de Birmanie vient de rejeter la demande urgente du Conseil des Droits de l’homme des Nations Unies, formulée le 19 novembre dernier, d’accorder la citoyenneté aux 800 000 musulmans Rohingya, qu’il considère comme des émigrants illégaux du Bangladesh, et les appelle « bengalis ».
Le gouvernement avait déjà refusé à l’OCI (la tentaculaire Organisation de la coopération islamique qui dicte de nombreuses décisions pro-islam à l’UE et à l’ONU) la permission d’installer une antenne et des bureaux dans le pays.
A la base de ce refus catégorique, on trouve non seulement le président Thein Sein, mais également l’opposition, en la personne du prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi.
Entre autres motifs, les autorités accusent les musulmans de ne pas être en mesure de prouver leurs prétentions sur des racines (ils affirment vivre en Birmanie depuis des siècles) et un droit d’héritage sur le pays (tiens tiens…).
De plus, a déclaré hier Ye Htut, un des portes-parole de la présidence birmane sur sa page facebook, il n’est pas question d’accorder « la citoyenneté à ceux qui ne sont pas en accord avec la loi, quelles que soient les pressions». Car en Birmanie les musulmans réclament la tolérance pour leurs différences culturelles et une adaptation des lois pour se conformer à la sharia.
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Invitée de l’émission « Today » de la BBC, la prix Nobel de la paix a déclaré, concernant le rejet des musulmans par les bouddhistes birmans (240 000 musulmans ont fui leurs villages cette année) : “C’est ce que le monde doit comprendre : la peur n’est pas uniquement du coté des Musulmans, elle est également du coté des Bouddhistes”… “Oui, les Musulmans ont été visés, mais les Bouddhistes ont également été victimes de violences. »
Suu Kyi : “Vous accepterez, je pense, l’idée qu’il existe une puissance musulmane, une formidable puissance musulmane mondiale, très forte. C’est ce qui est ressenti dans de nombreuses parties du monde, et également dans notre pays.”
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
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La Birmanie, qui a tant souffert des différents régimes d’oppression:britanniques, communistes, militaires ne saurait accepter l’invasion islamique qui aurait raison de ce peuple merveilleux, boudhiste, si bien représenté , désormais, par Aung San Suu Kyi.
Cette femme d’exception, à la force d’âme semblable à celle de Gandhi, saura, avec son peuple, bouter les envahisseurs islamiques hors de son pays ,qui me laisse un souvenir EMERVEILLE.: extrême beauté du pays,amabilité de la population, patrimoine culturel exceptionnel, temples beaux, reposants, —où les animaux sont chez eux… Non, vraiment rien à voir avec l’islam.
L’islam est à bannir des pays non musulmans…
et les musulmans avec s’ils ne se font pas tout petits et tout discrets.
je suis musulmans et fier bandes d’islamophobe
Les musulmans de Birmanie ont 54 pays à dominante islamique pour pratiquer leur religion.
Leur position d’éternelles victimes n’est qu’un moyen d’islamiser le monde entier.
Dehors !
Il faut absolument « museler » la PESTE MUSULMANE par tous les moyens possibles et freiner l’IMMIGRATION, la FRANCE court à la perte totale de ses racines, ses traditions, son patrimoine etc… En un mot son « HISTOIRE » !…
J’ai oublié : Le Bengladesch aussi n’en veut pas et c’est la Birmanie la coupable !
Le titre de cet article est surprenant (la Birmanie refuse la nationalité à SES musulmans) ! Le possessif est de trop car lesdits musulmans viennent tous du Bengladech. Je suis allée 2 fois dans cette région très très pauvre et c’est une invasion. La Birmanie est suffisamment pauvre, comment voulez-vous qu’elle fasse face à cette immigration ! Et on sait très bien que les musulmans vivant dans des pays non musulmans veulent imposer leur religion bien que tous les pays à dominance musulmane ne respectent pas les droits de l’homme. On condamne la Birmanie et c’est injuste.
Mais l’Islam ne fait pas partie de la Birmanie. Alors dépêchez-vous Tarik Ramadan d’aller balancer une contremesure dans la presse bien-pendante. C’est le dernier moment.
Et les birmans n’ont rien à fiche du droit international des bien-pensants de Strasbourg. Normal, des gens qui se protègent du danger planètaire qu’est l’Islam.
N’oubliez pas non plus le Japon « islamophobe », ils ne veulent pas d’islam chez eux, et ils ont raison!
Et de 3 !….BRAVO…..après Tahiti et l’Angola, voilà un troisième pays (ou région) qui a compris que PARTOUT ou cette peste musulmane s’installe, c’est pour semer le bordel et y imposer sa loi !….d’autres ne vont pas tarder à suivre l’exemple……