Ces cas à répétition que la gauche parlementaire ne veut pas voir.
Dans Le Matin du jour, au manège de Granges en Valais:
"Un jeune homme à peine majeur y a agressé sexuellement un jeune cavalier d'une dizaine d’années. Dès qu’ils l’ont appris, ses parents - qui n’ont pas souhaité nous parler - s’en sont plaints au propriétaire des lieux. Ce dernier a alors immédiatement prévenu la police. Contacté, il se bornait hier à confesser «tomber des nues» d’autant qu’il est lui-même papa. Même silence de la part de Grégoire Comtesse, procureur en charge du dossier qui confirme tout de même qu’une enquête sur cette affaire a été lancée et qu’un homme a déjà été placé en détention préventive."
Grâce au PS, grâce à l'action de Carlo Sommaruga (PS/GE), et ce même si l'initiative de la Marche blanche passe en votation, il y a de fortes chances qu'on n'impose pas "une interdiction professionnelle définitive à un mineur qui aurait eu des rapports sexuels avec d'autres mineurs, ou un jeune adulte avec un mineur" (source). Ainsi le jeune pédophile en herbe pourra-t-il promptement retourner au manège pour faire sauter des ribambelles de gamins sur ses genoux.
Si le Parlement avait encore écouté Carlo Sommaruga, passé 10 ans révolus, la victime n'aurait pas pu bénéficier de l'imprescriptibilité des actes de pornographie enfantine. Si elle n'avait pas été soutenue par ses parents, elle n'aurait peut-être jamais parlé, ou plus tard, trop tard.
Le changement c'est pour quand ?
Source Le Matin
Et vous, qu'en pensez vous ?