Suède: le rabâchage transgenre dès la maternelle

Dans le cadre de sa série sur les pays scandinaves, Le Temps rend compte de la prise d’assaut de la littérature enfantine par une certaine indéologie.

"Kivi est un petit personnage qui a beaucoup fait parler de lui. Ou d’elle. Car personne ne connaît le genre de ce bébé [...] Kivi et le monstre chien a poussé un peu plus loin la conception du féminisme à la suédoise.

toptoy3-300x225Kivi est désigné par le pronom «hen», un mot neutre qui n’existe traditionnellement pas dans la langue suédoise mais qui a été introduit par les féministes dans les années 60 aux côtés du «han», il, et du «hon», elle. Le terme n’est pas encore entré dans le langage courant mais il apparaît de plus en plus régulièrement dans des articles de journaux. Et dans la littérature enfantine, qui se projette volontiers dans la société suédoise idéale.

«Les questions de genre prennent de plus en plus d’importance, déclare Ann Sköld Nilsson, éditrice à Raben & Sjögren. Les parents d’aujourd’hui y sont très attentifs.»

[...] «On recherche avant tout de bonnes histoires, explique Karin Rowland, éditrice. Mais si un auteur nous proposait un livre avec une conception des genres sexiste, on lui demanderait de revoir sa copie.» 

[...] «Dans un passage du Château de glace, j’ai dépeint un cirque, dont un Monsieur Loyal présentait les numéros», raconte Janina Kostelic. «Mais, après coup, je me suis dit: «Pourquoi les Monsieur Loyal seraient-ils toujours des hommes?» Alors j’ai repris mon texte et il est devenu une femme

[...] «Les parents veulent toujours que leurs enfants soient à leur image, dit-elle. Je veux montrer que les petits ne suivent pas toujours la norme et ont le droit d’être différents

[...] Dans La Petite Zlatan et son oncle chéri, Pija Lindenbaum décrit une petite fille jalouse du nouveau petit ami de son oncle. L’homosexualité y est dépeinte avec finesse sans être nommée.

«Des amis libraires m’ont confié que beaucoup de mamans avaient acheté ce livre pour Noël et que de nombreux papas étaient venus le rapporter après les fêtes», confie-t-elle.

suede gender[...] Une marque de vêtements a cessé en Suède de distinguer le coin des petits garçons et celui des filles et propose désormais essentiellement des habits unisexes. Dans le catalogue de jouets suédois Leklust, on peut voir un enfant portant un déguisement Spiderman [...] pousser un landau de poupée rose. Même Top Toy, la franchise de la marque internationale Toys’’R’’ Us, a créé un catalogue spécial pour la Suède, où les filles ont été remplacées par des garçons dans les pages poupées et vice-versa dans le coin des pistolets.

Les crèches ont souvent recours à des «pédagogues du genre», qui aident les puéricultrices à identifier les tics de langage et de comportement qui pourraient renforcer les clichés."

A Egalia, enfin, crèche publique «LGBT friendly», les poupées sont unisexes. Et si cela vous choque, vous êtes un vieux réac, au masculin !

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7 commentaires

  1. Posté par Marlou le

    Où l’on retrouve la patte de l’Etat profond, ou des mondialistes, ou de Davos – ou, pour résumer: de celui-dont-on-ne-prononce-pas-le-nom et qui apprécie par-dessus tout de souiller le Vivant, de détruire et de mentir, et tout ce qui peut permettre de supprimer la joie & l’Amour, la tendresse & la compassion, et la Mère-Terre, car il hait la Femme.
    Les comportements cités dans cet article ont pris racine dans le féminisme (Mouvement de Libération de la Femme) qui a été créé par la Fondation Rockfeller. Aaron Russo, producteur à Hollywood, mais homme de principes élevés, l’a raconté dans une longue vidéo que l’on peut trouver à nouveau sur Internet. Ici est un extrait où il en parle.
    C’est à partir de 4: https://www.youtube.com/watch?v=jzoU7zZt4E0 .
    Ses discours sont toujours d’actualité. Le plan de l’Abomination est juste plus avancé.
    Que le Dieu qui est en nous nous donne la Force de nous dresser contre elle et de protéger nos enfants en ces temps annoncés de Tribulations dans lequel nous sommes entrés.
    A propos, ceci vous intéressera sans doute:

  2. Posté par Marie-France Oberson le

    Pour rajouter au post de Pascal : je rappelle que Condorcet fut élevé et habillé en fille par sa mère jusqu’à l’âge de 9ans… il est quand même resté mâle… C’est emm****** quand même ces « genres » qui résistent et veulent absolument garder leur sexe bien défini qu’ils ont « reçu » à la naissance!!

  3. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    L’information que j’ai mentionnée précédemment est tirée d’un livre, une fois de plus. « LA FRAGILITÉ, faiblesse ou richesse ». Vous trouvez les références complètes sur Amazon, en saisissant « Marie Balmary ». C’est elle que je cite. Elle fait référence à sa lecture de la Genèse.
    « La première fragilité que je vois dans la vie comme dans la Bible est le différence homme-femme… Toute différence est un signe de fragilité, de non-totalité… La sexualité est bien, une force essentielle de la vie, mais la séparation des deux sexes est pour l’individu signe d’une pauvreté: pauvreté de ne pouvoir jouir complètement de soi sans un autre, ni de faire advenir la vie à soi seul… Et puis encore pauvreté de connaissance: moi qui ne suis qu’une femme, je suis handicapée du masculin; je me trouve sur cette terre devant plus de trois milliards de gens dont j’ignore comment ils vivent: les hommes. » (C’est ce handicap que les viragos refusent)
    C’est presque une torture de ne pas vous raconter la suite. Marie Balmary est géniale, je lui doit beaucoup et souvent la loue. Ce que je voulais souligner c’est que le courant actuelle va contre la vie, ce que vous savez. Mais aussi que des sources nous sont offertes pour une résistance mieux fondée. Encore un détail. J’ai raconté, à une autre occasion, l’échange avec une jeune femme promouvant la lutte contre le Sida. J’en ai rencontré une autre. Mais entre temps j’avais lu le fascicule de l’association suisse contre le sida. Celui dont le lien figurait dans un article des OBS, et qui faisait une promotion ouverte de l’homosexualité mâle. J’ai voulu en parler à la jeune femme, mais elle a refusé. Plusieurs fois et avec véhémence. Encore un symptôme. Allez, bonne nuit!

  4. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Incroyable! Revoyez le début de mes lignes de 13h16! Je viens de recevoir une information qui corrobore. Mais, étant donné l’heure, je vous la communiquerai demain, si vous le voulez bien.

  5. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Comment comprendre l’acharnement féministe à nier le vivant? Dont l’évidence perdure. Ni elles, ni eux, n’ont la moindre idée de ce qui les motive. Le symptôme est ce qui est visible, qui témoigne d’un désordre interne. Dans leurs cas ce n’est pas un virus. Quoi alors? Un point de référence est que toute pensée marxiste, léniniste, socialiste, communiste est athée. Elle est fondée sur la négation de Dieu, de la divinité et de la Providence. Or il ont vu dans la théorie de l’évolution une preuve irréfutable de l’inexistence de Dieu! Il se sont engouffrés dans un panneau énorme. Ne voyant pas que la théorie de Darwin exclu l’égalité dont ils rêvent tant. Le comble des combles est que les fondamentalistes ont eux aussi foncé tête baissée dans la lutte. Avec le créationisme biblique comme argument. Comment les blâmer, avec les traductions bucoliques pour enfant dont tous disposent. Passons.
    La première expérience LGBT a été faite par des savantes de l’université de Berkeley. Il y a au moins vingt ans. Elles ont pratiqué des expériences destinées à prouver que la différence de comportement entre hommes et femmes est un effet de l’éducation. Hypothèse comfirmée par les problèmes rencontrés par les garçons traités comme des fille, et inversement. Mais ce n’est pas leur tasse de thé. Pour ce faire elles ont agi d’une manière que je n’aurais pas cru possible, de la part d’un « être humain »! Pendant quelques années elles ont isolé un groupe de nouveau-nés des deux sexes dans des conditions rigoureusement égales, les revêtant des mêmes habits, les faisant jouer avec les mêmes jouets, leur faisant entonner les mêmes chansons. Inutile de dire que les mêmes amazones condamnent les parents livrant leur enfants à une telle expérience. Et que dire des parents. Et « ÇA » veut nous faire la morale? On me reprochera le « ça »? Que dire de personnes qui ne sont fondées que sur idées fumeuses et théories fuligineuses? J’ajoute que lorsque je rencontre un de ces « Ça » et que je lui parle, il fuit! L’image devant laquelle ils se prosternent est définitivement taillée, immuable. Et ils sont progressistes? Je rend hommage à Vladimir Boukovski, de qui j’ai reçu l’histoire de Berkeley! D’ailleurs j’ai tout reçu. Voyez-vous, dans la Genèse, tout les arbres étaient donnés. L’homme n’a pas reçu. Il a pris, le fruit! Faut-il être endoxtriné pour croire que Dieu l’a puni? Ce sera tout.

  6. Posté par Pascal le

    Je ne sais pas où on va, mais on y va vite. Mes 2 garçons ont joué avec des poupées et des petites voitures, mais aujourd’hui, ils préfèrent quand même porter des habits bleus que roses !

    Pour conclure : oui, je suis un vieux réac (au masculin) et je l’assume pleinement.

  7. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    « C’est un au delà du miroir: on s’adresse aux enfants comme à des adultes, et aux adultes comme à des enfants… » Vladimir Boukovsky, dans « URSS: de l ‘utopie au désastre » (essais Robert lafont).
    « Et nous parlons aux enfants très sérieusement… » En Suède donc. Ne pas parler aux enfants comme à des demeurés, j’approuve. Mais le problème est le contenu de la parole et les motivations du locuteur. La lecture des deux pages du temps me laisse convaincu qu’il ne s’agit de rien d’autre qu’une manipulation des enfants. Les adultes se défaussent sur les enfants de leurs angoisses existentielles. La différence pose problème, supprimons-la donc! Mais la vie est patiente, elle tolère beaucoup d’erreurs, mais le retour de manivelle arrivera un jour.
    La manie LGBT est symptôme de confusion, et la confusion deviendrait remède. J’ai évoqué le déluge, que je ne voit pas sous forme d’eau, mais de dissolution dans le même.
    Or « maboul », qui selon le Robert, vient de l’arabe « habilla: devenir fou, signifie fou! Et, curieusement et en hébreu, le déluge est, est? Mabboul!
    Pour conclure, les informations contenues dans l’article du Temps me laissent avec l’idée que la Suède, paradis socialiste, est un pays de dingues.

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