Changement de sexe: pour les enfants aussi ?

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Etape suivante d’un délire qui paraît être sans fin, l’Institut universitaire Kurt Bösch (IUKB) organise un séminaire de promotion des normes du Conseil de l’Europe intitulé: « Le droit de l’enfant et de l’adolescent à son orientation sexuelle et à son identité de genre. » Analyse.

L'adoption par des homosexuels et l'accès à l'euthanasie pour les enfants semble ne plus suffire dans cette volonté d'imposer les moeurs de cette génération à la suivante. Voici l'identité de genre pour les moins de seize ans et son cortège chirurgical de concepts aussi vagues que les conséquences en sont irréversibles.

L'Institut universitaire Kurt Bösch (IUKB), l'Institut international des Droits de l'enfant (IDE), la Haute école pédagogique du Valais (HEP VS) et la Haute école spécialisée de Suisse Occidentale (HES-SO), Valais organisent les 2, 3 et 4 mai prochain le colloque intitulé: « Le droit de l'enfant et de l'adolescent à son orientation sexuelle et à son identité de genre. »

Homophobie

Cette débauche de fonds publics trouve sa justification dans le corollaire d'une homophobie d'un genre nouveau: l'homophobie tueuse, qui tue par suicide, les organisateurs prenant argument d'une étude danoise censée démontrer que les enfants de moins de 12 ans tombent comme des mouches en raison de l'homophobie ambiante dont ils sont forcément victimes. L'on rencontre encore l'homophobie qui tue par infection vénérienne, selon l'association Act Up, « les stigmatisations et discriminations ciblant les homosexuelLEs [soit l'attitude des politiques opposés aux revendications des homosexuels, ndlr] sont intériorisées par les individus et affectent durablement l’estime de soi. Or, on sait désormais que les prises de risques sexuels et l’accès à la prévention sont corrélées à une mauvaise estime de soi. Ainsi, la dynamique inquiétante de l’épidémie chez les gays découle directement des législations en vigueur. » Il y a l'homophobie qui tabasse, l'on a pu l'observer avec l'agression récente du jeune Wilfred de Bruijn, tout acte impliquant un homosexuel étant forcément dirigé par un parti favorable ou contraire à l'homosexualité. Les homosexuels semblent comme désincarnés, privés de volonté propre, d'existence, leur sort n'étant plus régi que par l'absence ou la présence d'homophobie. Grâce à l'Office fédéral de la santé publique, l'on sait désormais que les homosexuels sont plus enclins à souffrir d’asthme, d’allergies respiratoires et de sinusite; encore un coup de l'homophobie !

« Les enfants et les adolescents dont l’orientation sexuelle s’esquisse de manière non hétérosexuelle ou pour qui l’identité de genre ne va pas de soi font souvent face à l’incompréhension de leurs familles et de leurs pairs, et qu’une (sic) vaste majorité d’entre eux découvrent les affres d’une discrimination primaire », expliquent les organisateurs. Ce sujet certainement essentiel, qui eût demandé une communication en profondeur - empreinte de cette « sérénité scientifique interdisciplinaire » à laquelle l'IUKB dit aspirer sans donner l'impression d'y parvenir - et une discussion à l'intention des parents et responsables de l'éducation sur la façon de venir en aide aux enfants concernés, ce sujet se convertit en atelier de mise en conformité du droit suisse aux directives du Conseil de l'Europe: « Mettons en exergue la Recommandation CM/Rec(2010)5 du Conseil de l’Europe sur des mesures visant à combattre la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre ou encore le travail remarqué des experts onusiens qui ont généré les Principes de Yogyakarta (9.11.2006). »

Or, ladite recommandation est un rare instrument de propagande, prenant prétexte de la noble tâche d'appliquer les droits de l'homme pour promouvoir toute une idéologie. Idéologie forcément exacte puisque objet d'homophobie. Le seul intervenant issu du Conseil de l'Europe sera Mme Annachiara Cerri "Head of LGBT Unit". Sur 29 intervenants, 13 appartiennent à des associations d'intérêts LGBT ou soutiennent ouvertement la cause (sans compter EducAids et Amnesty), 17 sont issus des milieux associatifs ou politiques, l'on compte même le responsable d'une "fondation Arcus" ayant pour but de défendre « l'égalité LGBT ainsi que la protection et la conservation des grands singes »... Ceci étant dit pour justifier de la rectitude scientifique appelée à régner lors du colloque.

La Recommandation du Conseil de l'Europe

« Reconnaissant que les personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres ont été sujets pendant plusieurs siècles, et le sont toujours, à l’homophobie, à la transphobie et à d’autres formes d’intolérance et de discrimination, même au sein de leurs familles – y compris à la criminalisation, la marginalisation, l’exclusion sociale et la violence – en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre, et qu’une action spécifique est nécessaire afin de garantir la pleine jouissance des droits de l’homme de ces personnes ;

Considérant la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme (ci-après « la Cour ») et d’autres juridictions internationales, qui reconnaissent l’orientation sexuelle comme un motif interdit de discrimination et contribuent à l’amélioration de la protection des droits des personnes transgenres ;

Rappelant que, conformément à la jurisprudence de la Cour, toute différence de traitement, afin de ne pas être discriminatoire, doit reposer sur une justification objective et raisonnable, c'est-à-dire, poursuivre un but légitime et employer des moyens qui soient raisonnablement proportionnés au but recherché ;

Gardant à l’esprit le principe selon lequel aucune valeur culturelle, traditionnelle ou religieuse, ni aucun précepte découlant d’une « culture dominante » ne sauraient être invoqués pour justifier les discours de haine ou toutes autres formes de discrimination, y compris celles fondées sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre »

C'est par ces termes que le Conseil de l'Europe entame le préambule de sa recommandation. Rappelons que la Suisse ne fait pas encore partie de ces pays qui considèrent l'orientation sexuelle comme constituant un motif de discrimination raciale et que c'est précisément la raison de ce colloque (1). Précisons qu'au vu des récents progrès de la médecine, la première pénectomie documentée à fin de changement de sexe ayant été effectuée à Dresde en 1921, l'affirmation selon laquelle les « transgenres ont été sujets pendant plusieurs siècles » à la transphobie paraît quelque peu enthousiaste. Signalons enfin cette rhétorique de la fracture, de la confrontation avec une « culture dominante » persécutant l'identité de genre. Au Conseil de l'Europe, l'on paraît encore persuadé que l'homophobie institutionnelles est la « culture dominante ». L'on en vient à s'interroger sur les limites qu'il faudra franchir pour le convaincre du contraire. Et bien, le Conseil de l'Europe ouvre la voie et montre le chemin sans la moindre hésitation, l'objectif, la limite, c'est l'enfant, ou plutôt un fantasme de l'enfant qui, au plus jeune âge, avant même d'être "sexuel", serait déjà "homo", "bi", "trans"; une obsession.

Les termes de la recommandation sont très directs qui demandent aux Etats « d’examiner les mesures législatives [...] afin de contrôler et réparer toute discrimination directe ou indirecte pour des motifs tenant à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre »; contrôler... Il s'agit donc, au sens strictement légal, d'inciter les Etats à prendre des mesures de police. Pour ce faire, le Conseil de l'Europe demande aux Etats « de s’inspirer dans leur législation, leurs politiques et leurs pratiques des principes et des mesures énoncés dans l’annexe à la présente recommandation », il ne faut pas s'y tromper, c'est à cela et à cela exclusivement que doit servir le colloque de l'IUKB. On commence par de la captatio benevolentiae sur les méfaits de l'homophobie pour finir par forcer l'inscription de normes disciplinaires dans des recueils de lois.

Les services de police de ces Etats devront « veiller à ce qu’une attention particulière soit accordée aux enquêtes sur ce type de crime et incidents », les crimes d'homophobie, lesquels sont plus graves que les autres crimes: « Un mobile fondé sur un préjugé lié à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre puisse être pris en compte en tant que circonstance aggravante ». Ils devront encourager la délation et « prendre les mesures appropriées pour s’assurer que les victimes et les témoins de « crimes de haine » ou d’autres incidents motivés par la haine fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre soient encouragés à dénoncer ces crimes et incidents. »

Ces mêmes Etats devront « combattre toutes les formes d’expression, notamment dans les médias et sur internet, pouvant raisonnablement être comprises comme susceptibles d’inciter, de propager ou de promouvoir la haine ou d’autres formes de discrimination à l’égard des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transgenres. »

Les Etats devront imposer, à termes, une totale égalité entre le partenariat enregistré et le mariage, ce qui sous-entend l'accès à l'adoption d'enfants ou à la procréation médicalement assistée: « Lorsque la législation nationale reconnaît les partenariats enregistrés entre personnes de même sexe, les Etats membres devraient viser à ce que leur statut juridique, ainsi que leurs droits et obligations soient équivalents à ceux des couples hétérosexuels dans une situation comparable. »

We don't need no education

L'éducation devra être mise aux normes: « En tenant dûment compte de l’intérêt supérieur de l’enfant, des mesures appropriées devraient être prises à cette fin à tous les niveaux pour promouvoir la tolérance et le respect mutuels à l’école, quelle que soit l’orientation sexuelle ou l’identité de genre. Cela devrait comprendre la fourniture d’informations objectives concernant l’orientation sexuelle et l’identité de genre, par exemple dans les programmes scolaires et le matériel pédagogique ; les Etats membres devraient également fournir à tous les élèves et étudiants l’information, la protection et le soutien requis pour leur permettre de vivre en accord avec leur orientation sexuelle et leur identité de genre. En outre, les Etats membres pourraient concevoir et mettre en œuvre des politiques scolaires et des plans d’action pour l’égalité et la sécurité, et garantir l’accès à des formations ou soutiens et des outils d’aide pédagogiques appropriés pour lutter contre la discrimination. Ces mesures devraient tenir compte des droits des parents concernant l’éducation de leurs enfants »; l'on appréciera le conditionnel...

Asile

Les Etats concernés devront encore « reconnaître dans leur législation nationale qu’une crainte bien fondée de persécution motivée par l’orientation sexuelle ou l’identité de genre puisse être un motif valide d’octroi du statut de réfugié et de l’asile », ce qui n'est pas sans poser la douloureuse question de la vérification. En effet, quelle procédure le Conseil de l'Europe recommande-t-il pour vérifier l'homosexualité d'un requérant ?

Lourd problème de logique

Comme toutes ces tours de Babel théoriques prenant la dictée des lobbys LGBT, la recommandation du Conseil de l'Europe souffre d'un grave problème de cohérence.

Premièrement, l'art. 34 demande aux Etats membres que « des mesures appropriées [soient] être prises afin d’éviter de classer l’homosexualité comme une maladie, conformément aux normes de l’Organisation mondiale de la santé. » En effet, en 1973, l'American Psychiatric Association supprima l'homosexualité des rangs des pathologies listées dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, DSM), suivie en cela par l'OMS. Ce qui frappe ici, c'est l'oubli de la transsexualité qui d'ordinaire accompagne l'homosexualité à chaque article de la recommandation du Conseil de l'Europe. Et pour cause, la transsexualité reste une "paraphilie" au sens du DSM (2). Le transsexualisme reste donc à ce jour un trouble psychotique du comportement et, au sens strict, une maladie psychique.

Or, tout au long de son texte, le Conseil de l'Europe met à rang d'égalité l'homosexualité et la transsexualité, soit un comportement qu'il ne convient pas de classer au rang de maladie, relevant de la libre volonté et un autre issu d'un trouble grave de la personnalité. Cette confusion, qui ne peut être fortuite, constitue en l'état une grave discrimination: soit le Conseil de l'Europe, quoi qu'il en dise, considère l'homosexualité comme une maladie psychiatrique au même titre que le transsexualisme, soit il considère au contraire qu'un trouble reconnu de l'identité sexuelle constitue en fait un libre choix volontaire... Soit, encore, la recommandation du Conseil de l'Europe est un texte militant ignorant à dessein les évidences scientifiques, mais c'est là une conclusion à laquelle nous ne pouvons nous résoudre au vu de la réputation de sérieux de l'institution.

Deuxièmement, les art. 20 à 22 semblent établir les « modifications d’ordre physique », le «changement de genre » et le  « changement de sexe » comme autant d'objectif dignes de protection, ce alors même que le corps médical est loin d'être unanime quant à l'opportunité d'une opération de changement de sexe comme thérapie à un trouble de la personnalité. Le cas serait en effet unique d'une pleine réalisation, d'un plein accomplissement, d'une maladie comme principe de sa guérison.

Le Tribunal fédéral a encouragé le fait d'accorder au transsexualisme « valeur de maladie » (3), essentiellement pour en favoriser le remboursement par les caisses-maladie (4). Ceci étant, la conviction de la Cour suprême, selon laquelle le changement de sexe est le seul traitement approprié, a toujours connu de grandes variations (5). La seule raison pour laquelle le TF finit par se ranger à l'opinion dominante est que: « La plupart des patients, qui se trouvent en général dans une situation grave de détresse psychique et sont souvent fortement menacés par le suicide, atteignent après l’opération un équilibre psychique satisfaisant, que n’aurait pas pu être atteint d’une autre manière » (6). Le suicide, toujours le suicide. Ainsi, il importe peu que l'opération de changement de sexe ne soit pas un traitement efficace contre le transsexualisme pour autant qu'il soit une thérapeutique reconnue contre le corollaire immédiat du suicide.

Le corps médical est loin d'être aussi enthousiaste: Jean-Pierre Lebrun, professeur à l'université de Louvain, psychiatre et psychanalyste, va même jusqu'à affirmer que: « Le traitement hormono-chirurgical ne modifie en rien la problématique dans laquelle se débattait le sujet qui a demandé à être opéré. » (7) Et Henry Frignet, psychiatre et psychanalyste lui aussi, d'ajouter que: « Les cas de traitement ayant évolués vers une psychose franche, voire vers un suicide, ne sont pas exceptionnels, ni même rares. » (8) Colette Chiland, encore, psychiatre réputée, écrit que les raisons qui poussent les médecins à transformer leurs patients seraient « la compassion » (9) et « l’ambition démiurgique » (10), bien que personne dans la profession n'en soit à douter de la totale illusion que représenterait le "changement de sexe" proprement dit, « On ne peut pas changer de sexe », conclut-elle, « ce n’est pas une opinion, mais une réalité » (11).

Le Conseil de l'Europe a préféré ignorer des interrogations de la science pour imposer, dans une option incontestablement orientée, la réalisation chirurgicale du trouble transsexuel comme seule voie thérapeutique possible, voie devant être soutenue et appuyée instamment par les institutions des Etats membres; le bien-être des personnes frappées de transsexualisme passant après celui de la "cause".

Partant, tant le colloque que la directive qui l'inspire, dans leur volonté d'installer à l'horizon politique la notion d'un « droit à l'identité de genre » pour les enfants, soit à fixer en droit intangible le fait d'être atteint d'un trouble comportemental, revient ni plus ni moins, sous le fallacieux prétexte de lutte contre l'homophobie, à priver certains enfants des traitements appropriés au mal qui les frappe. Contraindre les institutions, par voie légale, à forcer un enfant de réaliser les conséquences de sa maladie plutôt qu'à en traiter l'origine, revient à faire un acte de cruauté gratuite, quoique certainement calculée. L'enfant transsexuel ne doit pas être le jouet des revendications LGBT, refuser de le traiter convenablement, le pousser de force, par des pressions de toutes sortes, à la transformation chirurgicale, c'est violer ses droits humains de la façon la plus cynique et la moins humaine qui puisse être.

 

 

(1) Cf. en outre art. 46 de l'annexe à la Recommandation: « Les Etats membres sont encouragés à prendre des mesures garantissant que les dispositions du droit national interdisant ou empêchant les discriminations protègent également contre les discriminations fondées sur des motifs multiples, y compris celles fondées sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre ; les structures nationales des droits de l’homme devraient disposer d’un large mandat pour leur permettre de répondre à de tels problèmes. »

(2) DSM IV.

(3) ATF 105 V 183, cons. 1b. Notion de maladie mentale qui se retrouve en jurisprudence européenne Arrêt van Kück c. Allemagne du 12.09.2003, Recueil 2003-VII, p. 1, § 14.

(4) ATF 114 V 155 C.

(5) Par ex: ATF 114 V 159-160 4b.

(6) ATF 114 V 162, cons. 4.

(7) Frignet Henry, Le transsexualisme, Paris 2000, p. 9.

(8) Idem, p. 32.

(9) Chiland Colette, Le transsexualisme, Que sais-je ? 3671, Paris 1992, p. 114.

(10) Idem, p. 120.

(11) Idem, p. 115.

2 commentaires

  1. Posté par Pascal le

    En France ,le multi-milliardaire homosexuel et socialiste Pierre Bergé dirige une association microscopique appelée LGBT .Cette association ,qui touche de très large subvention du régime socialiste se veut le défenseur des droits des « Lesbiennes, Gays, Bisexuels et transsexuels » .Si on approfondit une étude de ce sigle on s’aperçoit qu’il signifie en réalité « Lutte de la Gaystapo de Bergé et Tobira » ; çà semble un mauvais jeu de mots , mais en France la répression envers les mères de famille , les enfants , les ados et les personnes âgées ( gazés, raflés et gardés en « garde à vue » dans les commissariats , interdits dans certains jardins publics ,…) ou toute personne qui a sur son sweat un papa ,une maman,un petit garçon et une petite fille confirme le rôle évident du rôle de gaystapo de ce groupuscule. Quand un million huit cents mille personnes sont dans la rue , Hollande parle d’une « poignée d’individus » (sic Montebourg)et reçoit le lendemain LGBT .
    La France va mal ,très mal.

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